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audébut, "croire" porte sur la nourriture posée sur la crédence (sorte de table): elle avait été goûtée par des esclaves: le mot correspond à fiable, qui n'est pas empoisonné. Puis, porte sur ce à quoi on adhère sans pouvoir le justifier pleinement: par exemple l'idée à quoi rien d'observable ne correspond. (voir 3 Oui dans une certaine mesure. On ne peut pas dire qu'on n'a pas subit l'influence de la pensée d'autrui sauf si on s'appelle Mowgli et qu'on a été élevé parmi les loups. On s'approprie la pensée exprimée par d'autres partiellement ou dans sa globalité ou on la rejette. En psychanalyse, on appelle ça le processus d'identification (ou Sicroire à la vérité signifie croire que l'on possède la vérité, croire que l'ont sait, être dans la vérité, évidemment pour commencer à chercher il faut y renoncer: en effet pourquoi Nouste conseillons de ne te fermer aucune porte, même si tu n’as pas obtenu tes meilleures notes en dissertation au cours de l’année, n’exclue pas cette option. On ne sait jamais, peut-être que l’un des deux sujets proposés t’inspirera plus que ceux sur lesquels tu as déjà planchés en classe. dissertations philosophie, philo, moteur, recherche. Rechercher dans 37824 documents Chercher. Chercher. Accueil; Recherche Peut-on ne pas croire ? On commencera par définir la croyance en général, par exemple à l'aide de Kant (Critique de la raison pure, « Théorie transcendantale de la Méthode ») : la croyance - ou valeur subjective du jugement - présente Recherche Rencontre Sur Le Bon Coin. "Parmi toutes les croyances dogmatiques, les plus désirables me semblent être les croyances dogmatiques en matière de religion cela se déduit très clairement, alors même qu'on ne veut faire attention qu'aux seuls intérêts de ce monde. Il n'y a presque point d'action humaine, quelque particulière qu'on la suppose, qui ne prenne naissance dans une idée très générale que les hommes ont conçue de Dieu, de ses rapports avec le genre humain, de la nature de leur âme et de leurs devoirs envers leurs semblables. L'on ne saurait faire que ces idées ne soient pas la source commune dont tout le reste découle. Les hommes ont donc un intérêt immense à se faire des idées bien arrêtées sur Dieu, leur âme, leurs devoirs généraux envers leur Créateur et leurs semblables ; car le doute sur ces premiers points livrerait toutes leurs actions au hasard et les condamnerait en quelque sorte au désordre et à l'impuissance. C'est donc la matière sur laquelle il est le plus important que chacun de nous ait des idées arrêtées, et malheureusement c'est aussi celle dans laquelle il est le plus difficile que chacun, livré à lui-même, et par le seul effort de sa raison, en vienne à arrêter ses idées. Il n'y a que des esprits très affranchis des préoccupations ordinaires de la vie, très pénétrants, très déliés, très exercés, qui, à l'aide de beaucoup de temps et de soins, puissent percer jusqu'à ces vérités si nécessaires. Encore voyons-nous que ces philosophes eux-mêmes sont presque toujours environnés d'incertitudes, qu'à chaque pas la lumière naturelle qui les éclaire s'obscurcit et menace de s'éteindre, et que, malgré tous leurs efforts, ils n'ont encore pu découvrir qu'un petit nombre de notions contradictoires, au milieu desquelles l'esprit humain flotte sans cesse depuis des milliers d'années, sans pouvoir saisir fermement la vérité ni même trouver de nouvelles erreurs. De pareilles études sont fort au-dessus de la capacité moyenne des hommes, et, quand même la plupart des hommes seraient capables de s'y livrer, il est évident qu'ils n'en auraient pas le loisir. Des idées arrêtées sur Dieu et la nature humaine sont indispensables à la pratique journalière de leur vie, et cette pratique les empêche de pouvoir les acquérir. Cela me paraît unique. Parmi les sciences, il en est qui, utiles à la foule, sont à sa portée ; d'autres ne sont abordables qu'à peu de personnes et ne sont point cultivées par la majorité, qui n'a besoin que de leurs applications les plus éloignées ; mais la pratique journalière de celle-ci est indispensable à tous, bien que son étude soit inaccessible au plus grand nombre. Les idées générales relatives à Dieu et à la nature humaine sont donc, parmi toutes les idées, celles qu'il convient le mieux de soustraire à l'action habituelle de la raison individuelle, et pour laquelle il y a le plus à gagner et le moins à perdre en reconnaissant une autorité. Le premier objet, et l'un des principaux avantages des religions, est de fournir sur chacune de ces questions primordiales une solution nette, précise, intelligible pour la foule et très durable. Il y a des religions très fausses et très absurdes ; cependant l'on peut dire que toute religion qui reste dans le cercle que je viens d'indiquer et qui ne prétend pas en sortir, ainsi que plusieurs l'ont tenté, pour aller arrêter de tous côtés le libre essor de l'esprit humain, impose un joug salutaire à l'intelligence ; et il faut reconnaître que, si elle ne sauve point les hommes dans l'autre monde, elle est du moins très utile à leur bonheur et à leur grandeur dans celui-ci. Cela est surtout vrai des hommes qui vivent dans les pays libres. Quand la religion est détruite chez un peuple, le doute s'empare des portions les plus hautes de l'intelligence et il paralyse à moitié toutes les autres. Chacun s'habitue à n'avoir que des notions confuses et changeantes sur les matières qui intéressent le plus ses semblables et lui-même ; on défend mal ses opinions ou on les abandonne, et, comme on désespère de pouvoir, à soi seul, résoudre les plus grands problèmes que la destinée humaine présente, on se réduit lâchement à n'y point songer. Un tel état ne peut manquer d'énerver les âmes ; il détend les ressorts de la volonté et il prépare les citoyens à la servitude. Non seulement il arrive alors que ceux-ci laissent prendre leur liberté, mais souvent ils la livrent. Lorsqu'il n'existe plus d'autorité en matière de religion, non plus qu'en matière politique, les hommes s'effrayent bientôt à l'aspect de cette indépendance sans limites. Cette perpétuelle agitation de toutes choses les inquiète et les fatigue. Comme tout remue dans le monde des intelligences, ils veulent, du moins, que tout soit ferme et stable dans l'ordre matériel, et, ne pouvant plus reprendre leurs anciennes croyances, ils se donnent un maître. Pour moi, je doute que l'homme puisse jamais supporter à la fois une complète indépendance religieuse et une entière liberté politique ; et je suis porté à penser que, s'il n'a pas de foi, il faut qu'il serve, et, s'il est libre, qu'il croie." Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, II, 1840, 1ère partie, Chapitre V, GF, 1981, p. 29-31. Retour au menu sur la religion Retour au menu sur la liberté Date de création 26/04/2016 1541 Dernière modification 26/04/2016 1541 Catégorie Page lue 3419 fois Imprimer l'article 403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 8vWe6GwDcCcZxPoTxj80TnLSB9S_1J58rUUQDaSVj4dmn0l6vbX0yg== L'analyse du professeur Ce sujet est d’abord une contradiction manifeste entre les deux verbes. Il faut donc repérer les modalités de cette contradiction pour essayer de comprendre en quoi elle est contestable. En ce sens, il apparaît que le savoir est affaire de connaissance alors que la croyance est affaire de sentiment. Les deux sont opposés en ce qu’il désignent donc deux rapports différents à une idée. Mais on peut aussi considérer que leurs définitions ne sont pas si lointaines dans la mesure où le savoir peut être défini comme croyance mobilisant une preuve en supplément Cf. Sujet Faut-il opposer croyance et raison ». Dès lors, le savoir ne s’opposerait pas directement à la croyance mais en dépasserait la nature dogmatique pour parvenir à une forme d’assentiment rationnel. La différence entre croire et savoir se jouerait donc dans le statut de cette preuve supplémentaire. Cependant, à l’inverse, la croyance ne se fait jamais de façon purement arbitraire et semble mobiliser des motifs, c’est-à-dire reposer sur des idées et une forme de savoir qui la provoque. On ne croit pas n’importe quoi mais on croit toujours en fonction de raisons plus ou moins obscures. Bref, le savoir est problématique et risque de rejoindre la croyance si la preuve qu’il mobilise est fragile. À l’inverse, la croyance semble dépendre initialement d’une forme de savoir plus ou moins prouvé qui ne dépend pas du critère exclusif de la raison logique mais peut également s’appuyer sur des convictions sentimentales ou sur des préjugés qui ne sont pas nécessairement dogmatiques qui sont de l’ordre de l’intuition. ... ce qu’est croire et la nature raisonnable et rationnelle de l’homme, il semble difficile au même moment , dans une même conscience, de croire en une idée tout en sachant qu’elle n’est pas vraie, c’est-à-dire fausse. En effet, croire, c’est être dans une attitude d’esprit qui affirme avec un degré plus ou moins grand de probabilité la réalité d’une chose ou la vérité d’une idée. Donc pour croire que la terre est ronde , il faut penser que cet énoncé est vrai, donc si je sais que ce n’est pas vrai, je sais que c’est faux , donc je ne peux pas considérer au même moment que c’est faux , et y croire c’est-à-dire croire que c’est vrai. 2. Et c’est d’autant plus difficile à concevoir que le savoir est une connaissance rationnelle obtenue soit par démonstration soit par observation et vérification expérimentale. Le savoir s’oppose à l’opinion qui est soit résultat d’un raisonnement erroné aveuglé par la passion et l’intérêt, par ex. , soit d’une erreur de perception allégorie de la Caverne de Platon, je crois ce que je vois et je me trompe, soit d’une absence de raisonnement je pré-juge avant même d’avoir jugé. Donc normalement le savoir doit l’emporter contre l’opinion et doit avoir plus de force de conviction même si l’opinion peut être très persuasive. Donc si je sais que c’est faux, je ne peux plus y croire , ni être convaincu que c’est vrai car je suis un être rationnel en tant qu’être pensant . Ma rationalité fait que je ne peux pas consciemment préférer l’infondé, l’irrationnel, le faux au démontré, prouvé et vrai. En tant qu’être rationnel, je veux raisonnablement le vrai. Consciemment, je ne peux croire au faux si je sais que c’est faux , car cela reviendrait à se mentir à soi-même OR comme le montre Sartre , cela présupposerait que je sois double une partie sachant le vrai menteuse et une partie ignorante trompée or je suis une seule et même conscience transparente à elle-même. Donc si je crois à ce que je sais ne pas être vrai , c’est en fait soit sans y croire vraiment car je sais que ce n’est pas vrai, soit sans savoir vraiment si c’est vrai dc j’ai un doute dc j’y crois car finalement je ne suis pas sûr qu c’est vrai. Dc soit je sais et je ne peux pas croire le contraire, soit je crois car je ne sais pas. Transition pourtant la mauvaise foi, ça existe même si théoriquement c’est impossible ! , on a vu dans l’histoire de la science des préjugés résister à des preuves Galilée, Copernic, Darwin, alors comment expliquer cette croyance paradoxale, illogique et contraire à la nature de l’homme ? II. Cela s’explique 1. par la nature de l’homme. Il n’est pas simplement un être de raison , c’est aussi un être de désir. Donc si en tant qu’ être rationnel il cherche la vérité, en tant qu’être de désir il cherche le bien-être, le bonheur. Or la vérité peut faire mal et renvoyer à une réalité douloureuse. Et en ce sens il a besoin d’illusion. Comme le dit Freud, une illusion n’est pas la même chose qu’une erreur … Ce qui caractérise l’illusion , c’est d »être dérivée des désirs humains ». Et , il illustre cela par l’illusion religieuse correspondant à un besoin archaïque enfantin de se sentir aimé et protégé contre le monde extérieur injuste et contre soi pulsions du ça qui résiste à l’absence de preuve de l’existence de Dieu ou même à la démonstration par la science de la fausseté de certaines explications divines création du monde, la réalité physiologique de la mort…. Dc le fond de la croyance est d’ordre psychologique détresse, peurs.. ou matérielle souffrance , misère … la religion est l’opium du peuple » pour Marx. Aussi vouloir détromper les hommes c’est attenter à leur bonheur » comme le soulignait Rivarol, d’où la résistance de la croyance face au savoir. 2. par les limites du savoir. A. Ce n’est pas parce que je sais qu’une idée n’est pas vraie qu’elle est pour autant fausse, ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas réelle qu’elle est pour autant irréelle. En effet, si par vrai, j’entends observé et vérifié, l’absence d’observation ne suffit pas pour pouvoir déclarer que la chose n’existe pas ou que l’idée est fausse . Il se peut que la chose n’est pas encore été observée ou échappe à toute observation ex. Dieu est partout donc nulle part visible. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être prouvé car ce n’est pas forcément irréel pour autant. Si par vrai, j’entends non rationnellement démontré, ce qui n’est pas démontré n’est pas non plus forcément faux. Cela peut être au-delà ou en-deçà de toute démonstration. Dieu se sent, selon Pascal, il s’éprouve et ne se prouve pas. Les vérités intuitives du Cœur s’imposent et l’absence de démonstration prouve plus les limites de la raison , son impuissance que la fausseté de ses vérités. Pour Descartes, Dieu c’est la perfection, et l’homme imparfait est incapable de la penser ,cela ne remet pas pour autant en question sa nature, son idée et sa vérité. Donc je peux croire à ce que je sais ne pas être démontré, mais que je sens comme étant vraie. B. Il peut même être rationnel de croire en quelque chose qui n’a pas été prouvé ni démontré le pari de Pascal. C. ce n’est pas parce que je sais qu’une chose n’est pas vraie au sens de vérité absolue et universelle que pour autant cette chose n’est pas digne de confiance et de croyance Une théorie corroborée » n’est pas vraie » au sens de totalement prouvée mais elle est probable et donc je peux y croire comme en quelque chose de possible et de fiable Une théorie n’est pas vraie au sens classique en accord avec les faits, le réel , mais elle peut être vraie » au sens de vérité pragmatique » selon William .James ou de vérité technique » de Bertrand Russell. Et la théorie du non-miracle de Putnam donne des raisons d’y croire avec une certaine confiance. Conclusion Donc aussi illogique et inattendu que cela puisse paraître, je peux croire en ce que je sais ne pas être vrai, vu que l’homme a un besoin d’illusion en tant qu’être de désir , vu les limites de son savoir et vu que ce qui n’est vrai n’est pas forcément faux et donc incroyable pour autant. Peut-être sommes-nous d’ailleurs condamnés à ne croire que ce qu’on sait ne pas être vrai de manière absolue , mais vrai seulement de manière provisoire et pratique. Votre sujet n'est pas dans la liste ? Obtenez en moins de 72h - problématique entièrement rédigée - un plan détaillé rédigé complet, avec parties et sous-parties - la possibilité de questionner le professeur sur le plan proposé Prestation personnalisée réalisée par un professeur agrégé de philo Afficher uniquement les sujets de dissertation Afficher uniquement les commentaires de texte philosophique Afficher tous les sujets corrigés Annales du BacTerminale S Liste des sujets traités Annales 2017 - Peut-on se libérer de sa culture ? Annales 2017 - Défendre ses droits, est-ce défendre ses intérêts ? Annales 2009 - Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ? Annales 2009 - Est-il absurde de désirer l’impossible ? Annales 2008 - Y a-t-il d’autres moyens que la démonstration pour établir une vérité ? 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Commentaires disponibles Le sujetAutrui Liste des sujets traités Peut-on se fier à l’autorité d’autrui sans tomber dans le préjugé ? Changer, est-ce devenir quelqu’un d’autre ? Dois-je tenir compte de ce que font les autres pour orienter ma conduite ? Autrui est-il mon prochain ? L’homme est-il naturellement bienveillant à l’égard d’autrui ? Une action désintéressée est-elle possible ? Qui est autorisé à me dire tu dois ? Le corps soutient-il la relation à autrui ? Sans l'autre, je ne suis rien, je n'existe pas, autrui me constitue comme il peut me détruire Jean-Paul Sartre, L'Etre et le néant, troisième partie, chapitre premier, section IV le Regard Commentaires disponibles La conscience et l'inconscient Liste des sujets traités La conscience fait-elle de l’homme une exception ? Que peut-on reprocher à celui qui est inconscient ? Avons-nous conscience de notre corps ? La conscience de soi est-elle une connaissance de soi ? La conscience est elle ce qui définit l’homme ? 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